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Zoom sur les relations publics environnementales 

un nouveau métier qui mêle communication responsable RSE et économie circulaire.
l’Arvière dans l’Ain – crédit photos MPM

Notre fonction première reste toujours d’insuffler de la confiance entre l’organisation que nous promouvons et ses différents mais nous devons prendre en compte deux éléments essentiels :

–          Nous devons faire collaborer l’ensemble de nos parties prenantes

–          Et nous devons avoir en permanence en tête les objectifs de développement durable pour 2030 et donc le bien commun de la planète.

C’est donc avec ce néologisme que j’ai tenté de pratiquer et d’enseigner ce nouveau métier.

Que fait un ou une consultante ou conseillère en relations publics environnementales ?  Il ou elle aide son client à mettre en place des stratégies environnementales : réduction des déchets, participation et mobilisation citoyenne, concertations autour d’un PCAET[1],  co-création de plaidoyer ou de stratégies, mise en œuvre de l’économie de la fonctionnalité mais aussi construire et élaborer les actions de communication d’influence, les stratégies de social media manager, le tout centré autour des questions environnementales et de développement durable.

Aux confins de la RSE, de la transition écologique et de la communication durable, le ou la professionnelle RP environnementales a une triple exigence éthique

–          Le respect et la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable

–          La co-construction et la co-création

–          La mise en concordance avec les principes de l’économie circulaire

Autant dire que la tâche n’est pas aisée dans une société au sein de laquelle le greenwashing est encore légion et les notions de développement durable et d’économie circulaire encore trop peu popularisées.

Une évolution naturelle des relations publics

Pourtant c’est une évolution naturelle pour nos métiers alors que l’on sait aujourd’hui que la réputation d ‘une organisation, si essentielle, se construit aussi sur son discours et ses actions (ou inactions) en matière environnementale.

Pour ce faire, les professionnels en relations publics environnementales doivent se former en RSE, développement durable, économie circulaire et communication responsable et bien évidemment utiliser toute la palette des outils digitaux pour rentrer en contact avec ses publics et les mobiliser.

A l’ère du conversationnel, les RP environnementales sont encore un laboratoire d’expérimentations mêlant stratégie et opérationnel au service de la planète.

Les organisations sont-elles prêtes à suivre le mouvement ?  Dans bien des cas, il est impulsé par les citoyens, les consom’acteurs ou les ONG et ils poussent les entreprises à se transformer pour épouser au mieux les attentes de leurs publics et de l’opinion publique. 

 C’est un peu plus aisé dans les entreprises à mission (plus de 650 organisations et principalement des PME/PMI ont opté pour ce statut) et c’est d’ailleurs au sein de ces dernières que l’on devrait trouver de plus en plus de professionnels de RP de ce nouveau type.

Mais c’est encore plus flagrant dans les collectivités territoriales et bon nombre d’établissements publics territoriaux qui ont choisi de mettre en place une stratégie de transition écologique.

Il s’agit également de former les futurs professionnels à ces notions de transversalité : au sein d’une école de management, par exemple, j’enseigne dans un module intitulé « green business et économie circulaire «ou comment rendre les écosystèmes de travail plus sobres et résilients en utilisant les 3 R (réduire, réemployer, recycler).

Parce que les générations futures de managers devront être au fait de ces techniques et de ces différentes stratégies, c’est dès à présent qu’il faut les familiariser avec ces principes.

 

C’est la raison pour laquelle, nous proposons au sein de l’agence Ecodem des prestations de consultance de relations publics environnementales et des formations qui permettent d’accompagner transversalement les organisation et de veiller à la bonne cohérence et coordination des actions de transitions écologique et de l’implication de l’ensemble de leurs parties prenantes.

 

Pour en savoir davantage :

Pour lire l’article dans son intégralité : cliquez

www.agence-ecodem.com

En savoir davantage sur l’auteur : Marie-Pierre Medouga


[1] Plan climat Air Energie Territorial

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